Babylon : Faim de cinéma

Cette courte séquence souligne toute la dépravation inhérente à Babylon : les émotions de la foule divertie priment désormais sur l’expression des individualités bouleversées. Pour dire les choses autrement, l’individu s’efface derrière une masse uniformisée qui regarde dans la même direction : le film – entendu ici comme simple objet de consommation. 

Oxygène : L’emmurée vivante

Alexandre Aja instaure un trouble en insufflant toute cette humanité à la machine, déployant aussi bien une poésie visuelle qu’un danger inhérent aux blockbusters depuis plusieurs années : le corps de l’acteur disparaissant dans une vive lumière bleue. 

Eva en août : Conte d’été

Dans Eva en août, l’attention est donnée aux instants, les plans venant sans cesse éterniser les beautés, puretés et éclats éphémères de l’été.