Mix’Up : Quand le jeu se fait film

Avec le lancement de Good Time vient celui d’un de ses concepts-phares : le Mix’Up. Il s’agit d’un dossier, dans lequel une série d’articles et de critiques viendra discuter de questions transversales à deux des trois genres culturels traités par notre revue : le cinéma, la musique, le jeu vidéo.

Pour ce premier Mix’Up nous dressons l’un des ponts entre les mondes vidéoludique et cinématographique, en nous intéressant tout particulièrement au non-joueur devant le jeu vidéo, à sa fonction de spectateur. Un thème pouvant être perçu comme marginal étant donné que son existence et son appréciation du jeu ne font pas partie des considérations préalables des studios de développement, dans leur immense majorité. A quel point ce statut particulier peut-il être lié à celui du spectateur d’un film ? Comment les développeurs intègrent-ils des codes cinématographiques, et rendent-ils ainsi inconsciemment ce statut de non-joueur et spectateur légitime ? Nous chercherons à discuter de cela en suivant plusieurs pistes qui dessineront la trame de nos articles : le streaming, l’esport, les cinématiques…

Liens vers les articles de ce Mix’up :

Le stream privé : typologie d’une osmose entre joueur et non-joueur

Filmer l’esport comme filmer le sport : l’échec de « l’art » vidéoludique ? 

Crédits photos : The Legend of Zelda : Breath of the Wild – Nintendo EPD – 2017 ; Dog Day Afternoon – Artists Entertainment Complex – Théâtre du Temple – 1975 ; Hugo Chazal – Pujadas Arena – 2018

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